• C'est plus que dommage, nous t'avions donné une dernière chance et tu n'a pas su (pas voulu?) la saisir. Encore une fois, tu as préféré blesser plutôt que recoller.

    Je ne compte plus les erreurs et les méchancetés, elles ne me surprennent même plus. Sur ce coup là, je pensais simplement qu'il te restait encore un peu d'amour propre et d'amour tout court.
    C'est ce manque de surprise qui me chagrine le plus finalement.

    L'as tu décidé ce comportement? Ou bien, es tu malade? Ou tout simplement idiote? 

    Ce n'est pas faute d'avoir tenu les derniers fils. Pas faute non plus de t'avoir protégée une dernière fois. Pas faute enfin d'avoir caché ma profonde colère.

    Tu viens de perdre ton plus grand amour. Celui sans passion, sans heurts et sans sexe. Celui qui, disais tu, te faisais survivre. Cette fois ci, il est parti pour de bon. Une dernière fois...

    ...et il ne reviendra pas. 

    La dernière balle est pour toi...

    A BULLET IN YOUR FUCKIN' HEAD 


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  • Chers consommateurs de bloggs,

    cette photo, sortie d'un contexte, n'a aucun sens. Elle n'est pas spécialement bien cadrée, les couleurs ne sont pas très jolies, le photographe pas identifié.
    Dans son contexte, elle prendrait alors tout son sens. Cela ne rendrait pas la photo plus belle, mais elle illustrerait le propos. Quelqu'il soit.
    Or, les contextes sont variés.
    Temporel. Pourquoi publier cette photo aujourd'hui? Quand a t'elle été prise?
    Géographique. Où? Lors d'un voyage?
    Son sens. Simple témoignage? Exposition? Commande?
    Son origine. Photographe amateur? Professionnel?
    Sa cible. Un groupe de gens? Un individu unique?

    Cette photo, c'est comme les articles que vous consultez de temps en temps sur Private Press. Ils n'ont aucun sens car vous ne connaissez jamais dans quel contexte je les publie.
    Forcément, il y a quelques indices. Le titre par exemple. La photo parfois. Mon univers souvent pour ceux qui me connaissent.

    Alors ne cherchez pas un sens à ce que j'écris. Ne pensez pas qu'untel est visé plus qu'un autre. Pas de place ici pour les paranos.
    Ici tout est hors contexte et complètement personnel.

    "Private press" quoi!

    Et c'est pourquoi, je suis "sous le bitume". Mais au moins, là dessous il fait plus chaud que sur les sommets.


    3 commentaires
  •  

    Excusez moi de vous le dire, mais vous êtes bidons.
    Tellement bidons que vous en devenez pathétiques.

    Comme d'habitude, il m'aura suffit d'un article minable parlant de Bloggland pour que ma messagerie interne soit inondée d'insultes, de messages d'incompréhensions et de jugements à balles deux.
    Des mois entiers à publier des articles importants sur ce qui me touche sans qu'aucun d'entre vous se donne la peine d'y jeter un coup d'oeil. Autant de posts pour élargir les horizons et vous faire partager gouts et couleurs.
    Et puis, hier, me réveillant avec l'envie soudaine de faire chier les trépanés de la plateforme, je publie cet article qui je vous assure, (si si je vous assure), n'avait rien de sérieux. Mon blogg devient alors cour de récréation, ring de catch, assemblée nationale. Tout y passe. Règlements de compte insignifiants, insultes à agent, rancunes futiles, etc...

    Vous aimez tellement qu'on parle de vous...

    Ben moi, je me suis bien marré. Aucune déception non plus. La susceptibilité débordante de certains est la preuve évidente de votre manque d'humour et de recul.
    Ah, si Zizilcornich voyait ça, il se fendrait la poire. Lui au moins, il y allait cash. Me traitant d'enculé ou de suceur de bites. On se marrait comme des ours.

    Voyez vous, je n'ai pas besoin de vous séduire, de vous plaire ou d'adhérer à vos propos. Je n'ai de comptes à rendre à personne. Et puis, je n'ai que TROIS AMIS qui me lisent en ces lieux et eux seuls savent qui je suis vraiment. Avec eux, j'ai bu des verres, ils connaissent mes amis, nous avons partagés des moments en chair et en os, voir plus...
    Vous autres, je ne vous connais pas et vos avis m'indiffèrent.
    Cela dit, tant que vos réactions seront aussi subtiles, je continuerai à parler de l'univers que nous avons crée.

    Je vous rassure; ce post là non plus n'est pas à prendre au sérieux. Quoique...

    YOU SUCK!!!

     


    22 commentaires

  • J'avais déjà abordé le sujet lors de précédentes publications : B-Land fonctionne par cycle.

    Plus de deux ans maintenant que j'honore la plateforme de ma présence et je fus le témoin, comme beaucoup d'autres dinosaures, des différentes tendances de cet espace.
    Dans le désordre, nous avons eu à supporter :
    - les maniaco-dépressifs à tendance "je me coupe les veines et file direct à la douche parce que le sang ça tache la moquette"
    - les fans des soap-opera hispaniques version tutus et ballerines
    - les adorateurs en puissance des gourous Olsen
    - les écrivains "flanby" à articles mous et gazeux
    - les hommes politiques de Roissy en Brie (Lolo, si tu m'entends depuis là bas...)
    - les amoureuses de feu Jean Baptiste Maunier
    - etc ...

    En ce début d'année 2007, B-Land entre dans sa phase "anonyme".
    En gros, ce sont des anciens du quartier qui ont loupé leur départ et qui reviennent sous le couvert de l'anonymat pour éviter de faire du bruit avec la tripotée de casseroles qu'ils ont au cul.
    Comme par hasard, il leur suffit de deux articles complètement pourris pour déclencher l'affolement dans la troupe des blogglandeurs, complètement endormis depuis la fuite des vrais talents vers d'autres contrées.
    Même plus besoin d'un bout de sein ou de testicules pour affoler la meute amorphe, une phrase convenablement rédigée suffit désormais.

    Et puis, les anonymes retomberont dans l'anonymat. Comme nous tous finalement. Fidèles aux cycles blogglandais. Tous appelés à disparaître un jour au l'autre suivant les modes et les tendances.

    Alors, toi l'anonyme, l'inconnu ou le common people, te fatigue pas! Dans quelques jours, nous t'aurons tous oublié et tu pourras tranquillement retourner à la machine à café, qui se trouve, je te le rappelle, au fond du couloir à droite. 

    "Ce n'est pas dans l'anonymat qu'on danse..."
    Dantheman

     


    103 commentaires

  • et puis t'appelles
    et puis t'en sais rien
    et puis je ne te le dis même pas
    et puis y a un mystère
    en plus du secret que tu ne peux avouer
    et puis tu ne veux pas l'admettre
    et puis tu t'enterres
    et puis merde...


    You'll never live like common people,
    you'll never do what common people do,
    you'll never fail like common people,
    you'll never watch your life slide out of view,
    and dance and drink and screw,
    because there's nothing else to do.


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